Réponse immédiate par les communistes et la classe ouvrière
« Grecs et étrangères ouvriers unis » « Des profits mouillés du sang des ouvriers en toute la Grèce et à Manolada aussi » « La loi c’est la raison de l’ouvrier » ont crié des ouvriers grecs et étrangères dans le centre de Nea Manolada, mais aussi à Athènes, à Thessalonique, à Giannena, après l’appel du KKE, en dénonçant l’attaque meurtrière que les grands propriétaires des fraises de Nea Manolada ont lancé le 17/4, à la demande évidente des immigrants pour la paie de leur dur travaille.
À la manifestation du KKE à Nea Manolada hors des communistes, qui pendant des années se trouvent aux cotés des ouvriers immigrants, ont participé aussi de plusieurs ouvriers de la terre. « Cette situation ne peut pas être continuée, vu que la mesure est comble ici à Manolada et à la région entière avec les brasseurs d’affaires et ses garçons » a souligné par l’estrade du rassemblement Dimitris Tzavaras, membre du CC du KKE et secrétaire de Région en Péloponnèse. « L’attaque aux ouvriers de la terre immigrés est une attaque à toute la classe ouvrière, son mouvement, son avant- garde. Les ouvriers de la terre immigrés de Manolada sont parts de la classe ouvrière grecque, ils sont donc avec nous et nous sommes avec eux. Tandis que contre nous sont les capitalistes et leurs nervis, tous ceux qui leur donnent d’appui et de tolérance (état, mécanismes, forces politiques). L’attitude de chacun sur le sujet est la pierre de touche pour sa qualité, pour lequel les intérêts il serve », a remarqué Dimitris Tzavaras.
Les profits des producteurs des fraises sont teintés de sang, a déclaré par le rassemblement Nikos Karathanasopoulos, membre du CC de KKE et député, en soulignant que le gouvernement et les administrations locales de la Municipalité et de la Région, qui ont permis que cette situation s’éternise, ont des responsabilités énormes. Par une marche massive et dynamique jusqu’aux champs qui versent du sueur, et du sang les ouvriers qui produisent la richesse, la mobilisation du KKE a été achevée, en répondant directement et dynamiquement a tous ceux qui veulent cultiver le racisme, pour qu’ils maintiennent les ouvriers séparés, Grecs et étrangères, qui n’ont rien à séparer.
Hors des mobilisations contre le crime anti-ouvrier, lesquelles le KKE a organisé à cette région, ainsi qu’à Athènes et dans d’autres villes, le Front Militant des Travailleurs (PAME) a pris des initiatives importantes. Le PAME a réalisé des protestations au Ministère de Protection des Citadins et au celui de l’Emploi, avec la « Réunion des travailleurs de Bangladesh », ainsi que des manifestations silencieuses à Athènes, à Thessalonique, au Pirée. Alors que des décades de syndicats, fédérations, de centres ouvriers qui rassemblent au PAME dans tout le pays, ont publié des communications en condamnant l’attaque meurtrière contre les ouvriers immigrants.
Le KKE apporte le sujet au parlement
Le député du KKE N. Karathanasopoulos a posé une Question d’Actualité aux ministres de l’Emploi, d’Assurance Sociale et d’Assistance et de l’Ordre Public et Protection des citadins, à propos de l’attaque meurtrière aux immigrants ouvriers de la terre à Manolada. Entre autres, il veut savoir quelles mesures le gouvernement va prendre pour que :
- La traite contemporaine des ouvriers de la terre, des immigrants s’arrête à la région de Manolada et les conditions de travaille et de vie humaines soient assurées.
- Les ouvriers soient payés pour leur travaille, conformément aux conventions collectives de travaille.
- Les auteurs de l’attaque meurtrière soient arrêtés et punis, le plein rétablissement de la santé des blessés soit assuré, personne ne soit pas expulsé et leur séjour et travaille légal soient assurés.
Voyez la vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=ruEnIQxHFN4
Des photos par les manifestations
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