Lutte pour les libertés populaires, les droits individuels et collectifs
Chers camarades,
Notre Parti soutient le "Rassemblement démocratique pour les Libertés populaires et la Solidarité", un large Mouvement qui a comme objectif la défense des libertés démocratiques et les droits individuels et collectifs, lesquels sont amputés et bafoués de plus en plus à la fois dans l'Union européenne et aux Etats-Unis, qu'ailleurs dans le monde.
Sous prétexte de la "lutte contre le terrorisme", en exploitant aussi le changement dans le rapport des forces à l'échelle mondiale à la suite des développements tragiques au début des années 1990, ainsi que l'attentat du 11 septembre 2001, les gouvernements aussi bien "de centre-droit" que "de centre-gauche" ont adopté des lois qui portent atteinte, voire même qui suppriment les conquêtes de nos peuples arrachées par de longues et dures luttes et sacrifices.
La vraie raison de ces politiques est, sans conteste, de dresser un rempart pour le pouvoir et les intérêts des multinationales contre l'opposition et la mobilisation de plus en plus dynamique des travailleurs face à leurs politiques antipopulaires et réactionnaires.
Au "Rassemblement démocratique" participent des organisations syndicales et autres organisations sociales, ainsi que des personnalités de la vie sociale, politique, scientifique et culturelle de diverses orientations politiques.
Au moyen des débats publics, des conférences de presse, des manifestations, des démarches auprès des autorités et institutions compétentes, le "Rassemblement démocratique" s'efforce de sensibiliser et mobiliser l'opinion publique de notre pays.
Au centre de son attention se trouvent depuis quelques mois les mesures - politiques et infrastructures - mises en place par le gouvernement sous le prétexte de la sécurité des Jeux Olympiques (système spécial de surveillance et d'enregistrement de tout ce qui bouge avec l'installation de milliers de caméras dans toutes les villes où se sont déroulés les jeux). Ce système (que nous avons payé 1,2 milliard d'euros aux Etats-Unis) continue, bien que les JO se soient terminés depuis très longtemps, à fonctionner sous diverses justifications: "régulation de la circulation, sécurité des installations olympiques, visites d'officiels", etc. La vérité, pourtant, c'est qu'il sert à espionner et ficher les manifestations et autres activités sociales.
Depuis peu, au-delà des systèmes de surveillance précités, des systèmes semblables ont été installés et se répandent sur de nombreux lieux de travail, mais aussi dans les écoles (surtout dans des lycées). Dans le même temps, les cas de chauvinisme et de racisme sont devenus quotidiens, tout comme les cas d'arrestations arbitraires, de mauvais traitements brutaux et de tortures inhumaines de citoyens (méthode moderne d'interrogatoire), grecs et étrangers, par les autorités policières, sans jamais que les auteurs de ces actes ne soient punis. Cet état des choses mène à la conclusion qu'il ne s'agit pas de comportements isolés de policiers, mais de pratiques dirigées d'en haut avec des objectifs bien précis.
Tout ce qui précède ne constitue pas une quelconque "particularité grecque", mais une réalité que l'on rencontre aussi dans d'autres pays de l'UE, aux Etats-Unis et ailleurs. Il suffit par exemple de voir la fameuse loi patriotique (PATRIOTIC ACT) aux Etats-Unis et la définition du terrorisme formulée par le Conseil européen le 6/12/2001, qui comprend aussi la lutte contre les décisions antipopulaires des gouvernements et des organisations internationales.
Pour toutes ces raisons et d'autres tout aussi évidentes, nous estimons qu'il est d'une urgence absolue de renforcer la solidarité internationale, l'échange d'informations et d'expériences, les initiatives communes et parallèles, d'internationaliser la lutte pour la défense des libertés populaires et des droits démocratiques, tant au niveau de l'Union européenne qu'à l'échelle mondiale. C'est d'ailleurs là l'intention du "Rassemblement démocratique" également.
Nous vous invitons donc, si vous êtes intéressés, à prendre contact avec le camarade Stratis Korakas, tel. (+30).210.25.92.111 ou portable 00.30.6973.310.594 et e-mail:cpg@int.kke.gr.
Nous sommes également à votre disposition pour toute discussion ou renseignement pendant la durée du Congrès.
Février 2005
Section du CC du PCG
pour les Droits démocratiques
Notre Parti soutient le "Rassemblement démocratique pour les Libertés populaires et la Solidarité", un large Mouvement qui a comme objectif la défense des libertés démocratiques et les droits individuels et collectifs, lesquels sont amputés et bafoués de plus en plus à la fois dans l'Union européenne et aux Etats-Unis, qu'ailleurs dans le monde.
Sous prétexte de la "lutte contre le terrorisme", en exploitant aussi le changement dans le rapport des forces à l'échelle mondiale à la suite des développements tragiques au début des années 1990, ainsi que l'attentat du 11 septembre 2001, les gouvernements aussi bien "de centre-droit" que "de centre-gauche" ont adopté des lois qui portent atteinte, voire même qui suppriment les conquêtes de nos peuples arrachées par de longues et dures luttes et sacrifices.
La vraie raison de ces politiques est, sans conteste, de dresser un rempart pour le pouvoir et les intérêts des multinationales contre l'opposition et la mobilisation de plus en plus dynamique des travailleurs face à leurs politiques antipopulaires et réactionnaires.
Au "Rassemblement démocratique" participent des organisations syndicales et autres organisations sociales, ainsi que des personnalités de la vie sociale, politique, scientifique et culturelle de diverses orientations politiques.
Au moyen des débats publics, des conférences de presse, des manifestations, des démarches auprès des autorités et institutions compétentes, le "Rassemblement démocratique" s'efforce de sensibiliser et mobiliser l'opinion publique de notre pays.
Au centre de son attention se trouvent depuis quelques mois les mesures - politiques et infrastructures - mises en place par le gouvernement sous le prétexte de la sécurité des Jeux Olympiques (système spécial de surveillance et d'enregistrement de tout ce qui bouge avec l'installation de milliers de caméras dans toutes les villes où se sont déroulés les jeux). Ce système (que nous avons payé 1,2 milliard d'euros aux Etats-Unis) continue, bien que les JO se soient terminés depuis très longtemps, à fonctionner sous diverses justifications: "régulation de la circulation, sécurité des installations olympiques, visites d'officiels", etc. La vérité, pourtant, c'est qu'il sert à espionner et ficher les manifestations et autres activités sociales.
Depuis peu, au-delà des systèmes de surveillance précités, des systèmes semblables ont été installés et se répandent sur de nombreux lieux de travail, mais aussi dans les écoles (surtout dans des lycées). Dans le même temps, les cas de chauvinisme et de racisme sont devenus quotidiens, tout comme les cas d'arrestations arbitraires, de mauvais traitements brutaux et de tortures inhumaines de citoyens (méthode moderne d'interrogatoire), grecs et étrangers, par les autorités policières, sans jamais que les auteurs de ces actes ne soient punis. Cet état des choses mène à la conclusion qu'il ne s'agit pas de comportements isolés de policiers, mais de pratiques dirigées d'en haut avec des objectifs bien précis.
Tout ce qui précède ne constitue pas une quelconque "particularité grecque", mais une réalité que l'on rencontre aussi dans d'autres pays de l'UE, aux Etats-Unis et ailleurs. Il suffit par exemple de voir la fameuse loi patriotique (PATRIOTIC ACT) aux Etats-Unis et la définition du terrorisme formulée par le Conseil européen le 6/12/2001, qui comprend aussi la lutte contre les décisions antipopulaires des gouvernements et des organisations internationales.
Pour toutes ces raisons et d'autres tout aussi évidentes, nous estimons qu'il est d'une urgence absolue de renforcer la solidarité internationale, l'échange d'informations et d'expériences, les initiatives communes et parallèles, d'internationaliser la lutte pour la défense des libertés populaires et des droits démocratiques, tant au niveau de l'Union européenne qu'à l'échelle mondiale. C'est d'ailleurs là l'intention du "Rassemblement démocratique" également.
Nous vous invitons donc, si vous êtes intéressés, à prendre contact avec le camarade Stratis Korakas, tel. (+30).210.25.92.111 ou portable 00.30.6973.310.594 et e-mail:cpg@int.kke.gr.
Nous sommes également à votre disposition pour toute discussion ou renseignement pendant la durée du Congrès.
Février 2005
Section du CC du PCG
pour les Droits démocratiques
e-mail:cpg@int.kke.gr