Concernant la nouvelle loi terroriste
Le gouvernement de la Nouvelle Démocratie, en prenant appui sur le cadre législatif de l'UE et du gouvernement du PASOK, montre so vrai visage: il renforce le cadre législatif et les mécanismes de répression contre le mouvement populaire, sous le prétexte de la lutte anti-terroriste.
Dans le projet de loi, le terrorisme est défini comme la perturbation de l'ordre économique, social, politique et constitutionnel d'un pays ou d'une organisation internationale, en pleine conformité aussi avec le cadre législatif relatif de l'UE. Les soi-disant garanties minimales ne sont que poudre aux yeux et constituent en fait un effort de dissimuler cette législation de classe.
Conformément à ce projet de loi, des occupations symboliques de bâtiments, de routes, des grèves dans les services d'utilité publique et autres activités peuvent être qualifiées de terroristes, peuvent être sanctionnées par des peines anéantissantes, peuvent conduire même à la dissolution des organisations syndicales. voire politiques, qui seront tenus pour "responsables" de ces actes. Même l'individu isolé peut être qualifié de groupe terroriste!
Dans le même temps, le mandat européen d'arrêt et d'extradition abroge une série de garanties démocratiques et de conditions préalables politiques, du simple fait que la procédure d'extradition est transformée en simple mandat d'amener. La coopération des mécanismes répressifs au niveau de l'UE est de cette façon renforcée avec pour véritable cible tous ceux qui contestent l'ordre impérialiste.
Le gouvernement, en s'alignant intégralement sur le précédent gouvernement du PASOK, fortifie le pouvoir de l'oligarchie des richesses contre les luttes populaires qui auront dans la période à venir plus d'intensité, comme résultat de l'attaque contiue du grand capital et de l'UE contre les droits du travail et les droits sociaux.
Le peuple, la jeunesse, doivent donner une réponse retentissante.
Dans le projet de loi, le terrorisme est défini comme la perturbation de l'ordre économique, social, politique et constitutionnel d'un pays ou d'une organisation internationale, en pleine conformité aussi avec le cadre législatif relatif de l'UE. Les soi-disant garanties minimales ne sont que poudre aux yeux et constituent en fait un effort de dissimuler cette législation de classe.
Conformément à ce projet de loi, des occupations symboliques de bâtiments, de routes, des grèves dans les services d'utilité publique et autres activités peuvent être qualifiées de terroristes, peuvent être sanctionnées par des peines anéantissantes, peuvent conduire même à la dissolution des organisations syndicales. voire politiques, qui seront tenus pour "responsables" de ces actes. Même l'individu isolé peut être qualifié de groupe terroriste!
Dans le même temps, le mandat européen d'arrêt et d'extradition abroge une série de garanties démocratiques et de conditions préalables politiques, du simple fait que la procédure d'extradition est transformée en simple mandat d'amener. La coopération des mécanismes répressifs au niveau de l'UE est de cette façon renforcée avec pour véritable cible tous ceux qui contestent l'ordre impérialiste.
Le gouvernement, en s'alignant intégralement sur le précédent gouvernement du PASOK, fortifie le pouvoir de l'oligarchie des richesses contre les luttes populaires qui auront dans la période à venir plus d'intensité, comme résultat de l'attaque contiue du grand capital et de l'UE contre les droits du travail et les droits sociaux.
Le peuple, la jeunesse, doivent donner une réponse retentissante.
Athènes, le 14/6/2004
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