A rencontré l’ex-président de la RF de Yougoslavie, Slobodan Milosevic
L’eurodéputé du Parti communiste de Grèce, Efstratios Korakas
Belgrade, le 28 juin 2001
L’eurodéputé du Parti communiste de Grèce (PCG), Efstratios Korakas, a rencontré le 28 juin à Belgrade pendant près d’une demi-heure l’ex-président de la RF de Yougoslavie, Slobodan Milosevic, dans la prison où il est détenu, afin de l’informer des mobilisations du peuple grec et de la lettre-condamnation de 80 députés grecs appartenant à toutes les formations politiques présentes au Parlement grec contre son extradition au Tribunal pénal international (TPI) de La Haye.
Selon le communiqué du CC du PCG, M. Korakas a exprimé à M. Milosevic les salutations chaleureuses du SG du CC du PCG, Aleka Papariga, du président honoraire, Harilaos Florakis, ainsi que de tous les Communistes de Grèce, en meme temps que leurs félicitations pour son attitude digne, courageuse et fière face à ses persécuteurs.
Pour les Communistes grecs, souligne le communique du PCG, la résistance et la lutte du président et du peuple yougoslave est une lutte très importante pour les Balkans, l’Europe, et le monde tout entier, puisqu’elle s’identifie pleinement à la lutte des Communistes grecs contre le nouvel ordre impérialiste, une lutte qui prend aujourd’hui toute sa signification contre les interventions de l’OTAN en ex-République yougoslave de Macédoine (FYROM), et plus généralement dans les Balkans.
Le president Milosevic a souligne que lui-même et ses compagnons de lutte sont effectivement la cible de l’OTAN, parce qu’ils n’ont pas baissé la tête à ses ordres et qu’ils ont adressé le message de la résistance à tous les peuples du monde, en montrant que l’OTAN ne peut plus faire désormais tout ce qu’elle veut. Je suis fier de ce que j’ai fait, et je continuerai de lutter pour les mêmes idéaux de la souveraineté nationale, de la paix et de la prospérité sociale. Le président Milosevic a eu également un dernier mot pour les nouveaux dirigeants de son pays, en déclarant (presque prophétiquement, comme l’on confirme les événements) qu’il n’échangerait pour rien au monde sa place en prison contre la place de ceux qui sont actuellement au gouvernement et qui défendent les intérêts des puissances étrangères contre les intérêts de leur patrie et de leur peuple.
Enfin, M. Milosevic a demandé à M. Korakas de transmettre ses plus chaleureuses salutations au peuple grec, au PCG, à Harilaos Florakis et à Aleka Papariga.
Belgrade, le 28 juin 2001
L’eurodéputé du Parti communiste de Grèce (PCG), Efstratios Korakas, a rencontré le 28 juin à Belgrade pendant près d’une demi-heure l’ex-président de la RF de Yougoslavie, Slobodan Milosevic, dans la prison où il est détenu, afin de l’informer des mobilisations du peuple grec et de la lettre-condamnation de 80 députés grecs appartenant à toutes les formations politiques présentes au Parlement grec contre son extradition au Tribunal pénal international (TPI) de La Haye.
Selon le communiqué du CC du PCG, M. Korakas a exprimé à M. Milosevic les salutations chaleureuses du SG du CC du PCG, Aleka Papariga, du président honoraire, Harilaos Florakis, ainsi que de tous les Communistes de Grèce, en meme temps que leurs félicitations pour son attitude digne, courageuse et fière face à ses persécuteurs.
Pour les Communistes grecs, souligne le communique du PCG, la résistance et la lutte du président et du peuple yougoslave est une lutte très importante pour les Balkans, l’Europe, et le monde tout entier, puisqu’elle s’identifie pleinement à la lutte des Communistes grecs contre le nouvel ordre impérialiste, une lutte qui prend aujourd’hui toute sa signification contre les interventions de l’OTAN en ex-République yougoslave de Macédoine (FYROM), et plus généralement dans les Balkans.
Le president Milosevic a souligne que lui-même et ses compagnons de lutte sont effectivement la cible de l’OTAN, parce qu’ils n’ont pas baissé la tête à ses ordres et qu’ils ont adressé le message de la résistance à tous les peuples du monde, en montrant que l’OTAN ne peut plus faire désormais tout ce qu’elle veut. Je suis fier de ce que j’ai fait, et je continuerai de lutter pour les mêmes idéaux de la souveraineté nationale, de la paix et de la prospérité sociale. Le président Milosevic a eu également un dernier mot pour les nouveaux dirigeants de son pays, en déclarant (presque prophétiquement, comme l’on confirme les événements) qu’il n’échangerait pour rien au monde sa place en prison contre la place de ceux qui sont actuellement au gouvernement et qui défendent les intérêts des puissances étrangères contre les intérêts de leur patrie et de leur peuple.
Enfin, M. Milosevic a demandé à M. Korakas de transmettre ses plus chaleureuses salutations au peuple grec, au PCG, à Harilaos Florakis et à Aleka Papariga.
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